J'ai un bleu au coeur.
Un vague à l'âme.
& dans tes yeux c'est l'ocean.
La colére des tempétes.
La force du vent.
Le calme de la mer.
La douceur de l'enfant.
Dehors.
Le sourire devient pudeur.
Le regard, un jugement.
Qui brise des barrieres.
Comme les vagues sur les rochers.
Qui fait naitre la peur.
Qui tue l'originalité.
à l'intérieur.
Un vieux refrain oublié.
Une douceur entre tes doigts.
Des soleils au coin de ta bouche.
L'immensité dans tes bras.
& tout ce qui nous touche.
N'en finira pas.
C'est un peu comme l'horizon.
Drôlement loin.
Drôlement plat.
Interminable.
& tu te pends.
En haut de mes bas.
Comme un enfant.
Qui ne veut pas.
De pas de danse.
Pour s'endormir.
Reconnaitre que l'enfance.
Est entrain de mourir.
Que les illusions.
Font de nous des cons.
Que nous sommes.
L'evolution d'un monde.
Qui ecrase les coeurs.
Avec ses gros sabots.
& que la rancoeur;
Sera le refrain.
D'un monde plus beau.
D'un monde plus vain.
& qu'on aura beau.
Calmer son chagrin.
Réconforter ses peines.
Soigner ses cicatrices.
Il ne restera que la haine.
Destructrice.
mardi 7 juin 2011
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