mardi 31 mars 2009

Phi'.

Phi', à force de rêver sa vie, on ne se reveille jamais.


Laissez-moi vous parler de Phi'.
Bosseur à souhaits - etternuement - à vos souhaits.
Phi', on s'essuie les pieds avant de piettiner ton coeur. Phi', grand manipulateur de la langue française; Il joue avec les mots pour mieux cacher les siens. Jeux de maux. & ça part dans tous les sens. Phi', enceinte depuis Trois ans maintenant. On ne sait jamais quand est ce qu'il va pondre, mais remarque, Pâques arrive, il serait grand temps.
Qui que vous soyez & peu importe où vous allez, il est impossible de faire abstraction de la Gentillesse de Phi'. Jamais vous n'oublierez. & si vous ne le conaissez, Jamais vous ne saurez.
Phi'-Phi' brin d'Acier. Toujours là au bon moment, toujours enmitoufflé dans son manteau, prêt à affronter le grand froid du Pôle Nord. Non, vous ne saurez jamais. Vous allez me demander qu'est ce que le Pôle Nord. C'est le grand froid du coeur de la femme, entre autre (...). La sienne. & dés qu'il y pense, il ferme ses persiennes. Phi', Grand Pâtissier aux yeux couleur Moka. Ou pas. Vous ne verrez Jamais. Phi' & ses milliers de rêves. Tellement de rêves que toutes les étoiles de l'univers ne suffisent pas pour les dénombrer. Phi', si on te vendait au poids du corps & du coeur, Jamais aucune richesse ne pourrait t'acheter. Rien ne te vaux, tu vaux bien plus que tout cela.

Le bar.

Le bar.

La rousse, toujours aussi maigre aujourd'hui, toujours aussi aigrie. Courbée sur sa vaisselle, ses café, ses alcools & boissons sucrées. Oui, notre jus d'orange est fait avec de vraies oranges préssées. Mais nous ne savons pas faire marcher la machine. Du moins, Elle ne le savait pas. La rousse, Séche comme un coup de trique. Crachant son venin, chaque jour un peu plus, parmi ses clients, parmi les siens. Ses yeux, fous, cherchent à chaque instant ses proies tel un vautour cadavérique. La rousse ne savait pas manger. Squelletique, elle déchiquette ses proies, se croient protégée. Mais se trompe. Quand elle rentre, tard la nuit, les hyénes rodent & attendent, encore & encore, le moment propice pour la dévorer. Semblable à la guépe, elle bourdonne aux oreilles de qui veut bien l'entendre, les ragots les plus sordides ou purement inventés. La rousse & son bar. Quelle grande histoire. Mais toute histoire a une fin. La rousse mourra dans un recoin de son bar, entre la machiné à café & le placard à balais. Ceci dit, elle l'aura bien cherché. Elle ne veut pas de couronnes, ni de fleurs, juste un coup de fusil, annoçant la fin d'une furie. D'une arracheuse de Vie. & une tasse de café, sérré, s'il vous plait. Merci.



Toutes les expériences sont bonnes à prendre - même les mauvaises - , cela dit, elles nous apprenent la vie & à la prendre par tous ces côtés, certains jours les bons, & d'autres les mauvais.

samedi 14 mars 2009

Vous ne saurez Jamais .

Me reveiller & le sentir, là, présent, tout contre moi. Le regarder Dormir. Respirer, lentement. Glisser quelques doigts furtifs dans ses cheveux. Innombrables boucles brunes se perdant dans la nuit. Regarder ses yeux, fermés, sereins, & son visage, calme, clair, sublime. Etincelle au milieu de l'obscurité. Quelques rayons de soleil s'infiltrent dans cette intimité, à travers les rideaux mal tirés. Notre intimité. Protégée par une douce Chaleur, ma jambe s'aventure lentement sur la sienne. Endormi. Il plonge un peu plus dans la douce profondeur de ses songes. Rêveurs. Je l'aime. Envie de lui murmurer à l'oreille quelques mots d'amour. Des mots qu'il comprendra sans les entendre. Je le regarde & j'observe, tel un Chat, Calmement. Lentement. Tous ces détails qui m'échappent lorsque le jour se léve. Tous ces détails. Mille chemins éparpillés sur son visage où les émotions coulent à flot perdu. Tous ces chemins qui me rendent heureuse. & qui m'obligent à me reveiller, trés tôt la nuit, pour les contempler, les connaitre par coeur. Les dessiner, encore & encore, du bout de mes doigts, du bout de mon coeur.


Merci . .


Toxine Hell.

mardi 10 mars 2009

Avant premiere. *


Amour mon Amour, que les croches & les troubadourds t'emportent & décrochent la Lune pour toi, mon Amour. Sauvage dans le sable, tu souris à l'avenir, les cheveux dans le vent & les mains mouillées. Tu voudrais redevenir, mais on ne peut pas être & avoir été. Alors tends la main & serre le monde, quit à le faire pleurer d'un trop plein de maux, d'un manque d'humanité. Pence ses blessures & conjure, la tête levée, ce que les cons jurent & ont toujours jurés. Amour mon Amour, que les vagues t'emportent & te raménent jusqu'à moi. Je fermerai ma porte seulement aprés toi. Mes pas sur le sable en disent long. Bien plus qu'un murmure. Bien plus qu'une passion.





Toxine Hell.



Une Petite Pensée pout toi, Blyss. & toi*, mon Amour.

samedi 7 mars 2009

Promesse.

Pardonnez-moi Cette Attente.



*



Tendrement, Toxine Hell.






Toxine Hell's Gallery _ http://m0ut0n-addict.deviantart.com