jeudi 29 octobre 2009
Thanks.
& moi je remercie le Bonheur, parce qu'il reste fidéle à son mythe, inaccessible & volatile, en toute circonstance.
jeudi 27 août 2009
La femme au d0uble visage.
vendredi 7 août 2009
& Je n'sais plus à quoi penser.
Sept Août - 5h02. Réglements de Comptes.
Pensées morbides. Vous vous dites qui vous pouvez partir à tout moment mais, tout au fond de vous, il y a Cette chose qui vous retient, ce pincecement profond dans l'estomac. Le ventre, lieu premier de l'Existence de la Vie.
Il se passe des choses au coeur de nos racines qui foutent tout en l'air; & avec lesquelles s'envolent espoirs & rêves.
Ici, c'est Verdun. Le combat mutuel au sein même d'un être qui saigne. On se cherche tous un pet-de-travers, moi la premiere, sans être capable de profiter pleinement & simplement des plaisirs de la vie. J'aimerai faire comprendre à une certaine personne chére à mon coeur qu'elle devrait être fiére d'être considérée comme une personne "normale" & non en tant qu'handicapée. On ne se reléve jamais d'une rude épreuve si on passe sa vie à se considerer en tant que victime. Les gens ne remarquent pas la différence, ils ne la jugent pas. Elle devrait en être fiére au lieu de piquer un scandale au beau milieu d'un Supermarché parce que la caisse "prioritaire" n'avance pas assée vite. & en parler au Patron, au risque de faire virer la caissiére qui, par les temps qui courent, doit s'éfforcer chaque matin d'aimer son boulot à grands coup-de-pied dans le Cul.
" Les temps sont durs pour les Rêveurs ", mais ils le sont également pour les Emmerdeurs; & les égoïstes.
Passer, chaque jour, devant des S.D.F mourants, & se bander imaginairement les yeux, faire comme si on ne les avait pas vu. Savoir qu'ils existent mais sans Jamais s'en donner la preuve. Car pour nous aussi, une piéce est une piéce; l'Argent, bourreau de notre condition car on-ne-sait-ce-qui-peut-arriver-demain. L'argent ça rend con, l'argent ça pu mais l'argent, c'est surtout beau quand on en a. Les Riches se croient les Rois du pétrole alors qu'ils vivent au rythme du CAC 40 & de ses inflations, déflations & tout un tas d'autres monts qui sont, pour moi, incompréhensibles & inutiles. J'ai bien envie de vous dire, Mrs-les-Rois-du-Pétrole que, malgré toutes vos illusions & votre vénalité, vous finirez tous dans le même trou, comme les autres.
A toutes ces personnes qui parlent de "Gnacke", de force, de rage & de rebellion en pissant le Cul vissé sur des W.C en Or massif. . . Toutes mes condoléances.
A tout ceux qui ne savent pas que la Vie se savoure d'abord en faisant totalement abstraction des biens matériels.
A ceux qui s'endorment encore l'esprit leger alors que le Monde est à feu & à sang.
A ceux qui voudraient changer le Monde mais qui ne sont même pas capable de changer leurs habitudes.
Je vous ris au nez. & j'espére que mes eclats de Rire seront aussi trachant que du Verre, ou plutot pour vous, que du Diamant. "0n n'a pas les mêmes valeurs" ça c'est sûr, on n'a pas les mêmes valeurs . . . ni la même éducation.
"En quelle année ont été implantés les Rododendrons en France? Ceci va avec un courant de pensée."
Bercée par le ventilateur, en guise de vent, & par la douce symphonie de la Pluie, Je m'endors.
[...]
dimanche 26 juillet 2009
Don't Call me Madam' .
Me reveiller. Sentir l'0deur du café, au loin, glissant sur les courbes de l'Escalier. L'immensité des Pieces habitées par un Silence si Froid. & Cette 0deur Caféinée. M'étirer, lentement, entre les draps. Ressentir leur douceur, qui ne manque Jamais aucun rendez-v0us. Me lever & enfiler un Pull Gris en Laine, beaucoup trop grand p0ur m0n c0rps, ceci dit. S'y enr0uler, s'y blottir. & Bien plus enc0re. Coiffer mes Cheveux 0ndulés, bl0nds foncés, comme si cette c0uleur pouvait exister. & Danser enc0re & enc0re une Valse lente avec le Temps. Si précieux, le Matin. Cette Valse lente qui n0us fait apprecier la Vie. & se Maquiller. Cont0urner mes lévres, d'un coup de crayon Violine. & même si 0n ne s0rt pas. & même si Je reste Seule. Juste pour le Fun. Juste pour que la Solitude me tr0uve Belle. & que ma Tasse-à-Café se Sente éffleurée par des Lévres de Femme en perdition.
Don't call me Madam'.
Lily.
samedi 4 juillet 2009
lundi 29 juin 2009
Mais toi t'sais pas Comment t'y prendre.
lundi 15 juin 2009
mardi 9 juin 2009
dimanche 7 juin 2009
Seven June.
& à Coups de Pieds dans l'cul ; par l'Amour, l'Amitié & la Chance ; J'ai fini par Avancer.
Avec le Sourire. & Toutes mes Dents. *
Avec le Sourire. & Toutes mes Dents. *
mardi 26 mai 2009
Hope.
Face au monologue de la nuit, Suave & sensuelle; tout bruit se révéle alors descriptible dans un Silence qui en devient tout aussi beau. Du chant des cigales, au petit crapaud; le tonnerre gronde au loin dans les collines. & le monologue devient un discours, le Silence une Symphonie. Etrange clarté, au loin, si je ne m'abuse, m'interpelle & éveille ma Curiosité. Un ver-luisant, peut être, ou bien un éclair - au Chocolat. & le bruit du vent faisant Valser les feuilles me rappelle le doux son de la Mer; innombrables vagues s'éclatant contre les digues, & venant mourir, timides, en rouleaux d'écume sur les Rochers.
Les eclairs, pendant ce temps, ne cessent de découper l'Univers nocturne en fine tranche, isolant à leur insu quelques groupes d'Etoiles; La pénombre calme & insolente s'en voit toute dérangée; grosse menteuse plein d'ilusions & de Rêves. C'est l'Espoir de ceux qui n'en ont Pas. Soudain, Madame Pluie s'abbat sur le paysage endormit, envoutant la moindre tonalité dans sa chevelure mouillée; Un monde Lacrymal, ce ne serait pas si Mal. La nuit, aux formes infinies, se déssine entre pluie & tonnerre; tout comme le Monde, vaste sphére bléssée, se débat entre Guerre & Paix.
& la petite fille au cheveux Bouclés s'endort ce soir là, entre pensée amére & douce symphonie. Bercée par la chaleur rassurante de l'Atmosphére. [...]
Les eclairs, pendant ce temps, ne cessent de découper l'Univers nocturne en fine tranche, isolant à leur insu quelques groupes d'Etoiles; La pénombre calme & insolente s'en voit toute dérangée; grosse menteuse plein d'ilusions & de Rêves. C'est l'Espoir de ceux qui n'en ont Pas. Soudain, Madame Pluie s'abbat sur le paysage endormit, envoutant la moindre tonalité dans sa chevelure mouillée; Un monde Lacrymal, ce ne serait pas si Mal. La nuit, aux formes infinies, se déssine entre pluie & tonnerre; tout comme le Monde, vaste sphére bléssée, se débat entre Guerre & Paix.
& la petite fille au cheveux Bouclés s'endort ce soir là, entre pensée amére & douce symphonie. Bercée par la chaleur rassurante de l'Atmosphére. [...]
à Tous les Rêveurs.
26 Mai. - 00h03 -
Toxine Hell
jeudi 7 mai 2009
Ne Croisons pas les Jambes.
& Elle se mare, elle. Pendant que tu pleures à tes jours perdus.
& Elle s'habille, elle. Pendant que toi tu erres à demi nu.
Antise, Reine des plus démunis;
De son futur Malheur, tu ris.
Aucun recoin ne t'est inconnu. Jamais dans ses draps, tu ne te seras perdus. & le Monde sait à quel point tu Aimes l'Amour; mais tu affirmes, malheureux, en avoir fait le tour. Tout comme les siéges de la Grande Roue, à la Foire du trone, que tes souvenirs ont chauffé; d'où tes désirs ont déchanté. La glace fruitée a fondu entre tes doigts collants. & tu ne ressent que la Chaleur, maintenant. Corps décharné & froid; tu préféres la présence d'un pantin, plutot que celle de ses bras. Les odeurs, tu ne les perçois plus; la beauté est devenu une intrue. Intrusives dans ta vie, tes nouvelles compagnes, les larmes, t'accompagnent dans le fin fond d'une campagne. inexplorable; incontrolable.
& Elle s'habille, elle. Pendant que toi tu erres à demi nu.
Antise, Reine des plus démunis;
De son futur Malheur, tu ris.
Aucun recoin ne t'est inconnu. Jamais dans ses draps, tu ne te seras perdus. & le Monde sait à quel point tu Aimes l'Amour; mais tu affirmes, malheureux, en avoir fait le tour. Tout comme les siéges de la Grande Roue, à la Foire du trone, que tes souvenirs ont chauffé; d'où tes désirs ont déchanté. La glace fruitée a fondu entre tes doigts collants. & tu ne ressent que la Chaleur, maintenant. Corps décharné & froid; tu préféres la présence d'un pantin, plutot que celle de ses bras. Les odeurs, tu ne les perçois plus; la beauté est devenu une intrue. Intrusives dans ta vie, tes nouvelles compagnes, les larmes, t'accompagnent dans le fin fond d'une campagne. inexplorable; incontrolable.
mardi 5 mai 2009
Comme si c'était Possible.
Je t'ai tellement aimée, tellement surestimée, que tu ne pouvais que me décevoir.
& tu m'as tellement déçue; Je te hais.
& comme si c'était possible, tu sombres dans les couloirs de l'oublie; à défaut de t'appercevoir, je t'éfface. Comme si c'était Possible. Comme si c'était Facile.
Brave Pute.
& tous ces mensonges qui se fredonnent avec lassitude & envie comme une chanson ringarde innoubliable.
Impersonnelle, je te pensais intemporelle. Je me suis bien trompée. Tu traverses le temps, & te fonds dans la masse, comme une ombre sans soleil. Comme une enfant sans Amour.
Tu pourras dire ce que tu veux de moi, je resterai sourde.
& tu m'as tellement déçue; Je te hais.
& comme si c'était possible, tu sombres dans les couloirs de l'oublie; à défaut de t'appercevoir, je t'éfface. Comme si c'était Possible. Comme si c'était Facile.
Brave Pute.
& tous ces mensonges qui se fredonnent avec lassitude & envie comme une chanson ringarde innoubliable.
Impersonnelle, je te pensais intemporelle. Je me suis bien trompée. Tu traverses le temps, & te fonds dans la masse, comme une ombre sans soleil. Comme une enfant sans Amour.
Tu pourras dire ce que tu veux de moi, je resterai sourde.
lundi 4 mai 2009
vendredi 10 avril 2009
Huître.
Quand l'Avenir se trouble & se tord comme un elastique détendu.
Quand l'Espoir s'efface & s'enfuie; Il en devient un Fruit défendu.
La base de toutes les souffrances.
Qui que l'on soit, On se retrouve toujours Seul dans le Noir, à mouiller l'oreiller ; Les cris perdus transpercent l'Espoir. Je sais que la Nuit me prendra par les Hanches. Que le Soleil fera briller ma Chance. Oui mais, en attendant. J'étale quelques ratures & fausses notes, quelques injures & quelques fautes. " Quand la Liberté rentrera, Je rentrerai " - Victor Hugo -
Une Rue de ma ville nous murmure à l'oreille, " L'avenir n'est interdit à Personne. " Un Boulevard. Mange des Gamb(as) & de la (f)eta. Vous ne comprenez pas. Vous ne comprenez Rien. Je préfére les Gens qui ne me comprennent pas. & vous me le rendez Bien.
Si tu craches pas tes huîtres, tu ne trouveras jamais la Perle Rare.
Quand l'Espoir s'efface & s'enfuie; Il en devient un Fruit défendu.
La base de toutes les souffrances.
Qui que l'on soit, On se retrouve toujours Seul dans le Noir, à mouiller l'oreiller ; Les cris perdus transpercent l'Espoir. Je sais que la Nuit me prendra par les Hanches. Que le Soleil fera briller ma Chance. Oui mais, en attendant. J'étale quelques ratures & fausses notes, quelques injures & quelques fautes. " Quand la Liberté rentrera, Je rentrerai " - Victor Hugo -
Une Rue de ma ville nous murmure à l'oreille, " L'avenir n'est interdit à Personne. " Un Boulevard. Mange des Gamb(as) & de la (f)eta. Vous ne comprenez pas. Vous ne comprenez Rien. Je préfére les Gens qui ne me comprennent pas. & vous me le rendez Bien.
Si tu craches pas tes huîtres, tu ne trouveras jamais la Perle Rare.
Toxine Hell.
jeudi 9 avril 2009
Lettre à Antise.
Puisque ce monde créve sous nos tristes pas,
Et que la Lune est impériale ici bas,
On se lasse et se laisse enlasser sous les draps.
L'espoir de l'avenir c'est qu'il n'y en a pas.
Puisque le désespoir efface la beauté,
Et que la douceur nocturne efface la clarté,
On se maquille avec les couleurs de la Terre.
La beauté et l'artifice sont éphémeres.
Antise, hantise, reine des ténébres,
Ton souffle caresse mes tristes fissures.
Ta voix est douce comme une noce funébre,
Absente dans mes yeux tu fais fuir le cyanure.
Et on pleure les morts sur le tombeau du monde,
Pendant que d'autres la dessinent quand elle dort
La lune, pleureuse à la chevelure d'or,
Sublime divinité, c'est la reine blonde.
Et que la Lune est impériale ici bas,
On se lasse et se laisse enlasser sous les draps.
L'espoir de l'avenir c'est qu'il n'y en a pas.
Puisque le désespoir efface la beauté,
Et que la douceur nocturne efface la clarté,
On se maquille avec les couleurs de la Terre.
La beauté et l'artifice sont éphémeres.
Antise, hantise, reine des ténébres,
Ton souffle caresse mes tristes fissures.
Ta voix est douce comme une noce funébre,
Absente dans mes yeux tu fais fuir le cyanure.
Et on pleure les morts sur le tombeau du monde,
Pendant que d'autres la dessinent quand elle dort
La lune, pleureuse à la chevelure d'or,
Sublime divinité, c'est la reine blonde.
Toxine Hell.
mardi 31 mars 2009
Phi'.
Phi', à force de rêver sa vie, on ne se reveille jamais.
Laissez-moi vous parler de Phi'.
Bosseur à souhaits - etternuement - à vos souhaits.
Phi', on s'essuie les pieds avant de piettiner ton coeur. Phi', grand manipulateur de la langue française; Il joue avec les mots pour mieux cacher les siens. Jeux de maux. & ça part dans tous les sens. Phi', enceinte depuis Trois ans maintenant. On ne sait jamais quand est ce qu'il va pondre, mais remarque, Pâques arrive, il serait grand temps.
Qui que vous soyez & peu importe où vous allez, il est impossible de faire abstraction de la Gentillesse de Phi'. Jamais vous n'oublierez. & si vous ne le conaissez, Jamais vous ne saurez.
Phi'-Phi' brin d'Acier. Toujours là au bon moment, toujours enmitoufflé dans son manteau, prêt à affronter le grand froid du Pôle Nord. Non, vous ne saurez jamais. Vous allez me demander qu'est ce que le Pôle Nord. C'est le grand froid du coeur de la femme, entre autre (...). La sienne. & dés qu'il y pense, il ferme ses persiennes. Phi', Grand Pâtissier aux yeux couleur Moka. Ou pas. Vous ne verrez Jamais. Phi' & ses milliers de rêves. Tellement de rêves que toutes les étoiles de l'univers ne suffisent pas pour les dénombrer. Phi', si on te vendait au poids du corps & du coeur, Jamais aucune richesse ne pourrait t'acheter. Rien ne te vaux, tu vaux bien plus que tout cela.
Laissez-moi vous parler de Phi'.
Bosseur à souhaits - etternuement - à vos souhaits.
Phi', on s'essuie les pieds avant de piettiner ton coeur. Phi', grand manipulateur de la langue française; Il joue avec les mots pour mieux cacher les siens. Jeux de maux. & ça part dans tous les sens. Phi', enceinte depuis Trois ans maintenant. On ne sait jamais quand est ce qu'il va pondre, mais remarque, Pâques arrive, il serait grand temps.
Qui que vous soyez & peu importe où vous allez, il est impossible de faire abstraction de la Gentillesse de Phi'. Jamais vous n'oublierez. & si vous ne le conaissez, Jamais vous ne saurez.
Phi'-Phi' brin d'Acier. Toujours là au bon moment, toujours enmitoufflé dans son manteau, prêt à affronter le grand froid du Pôle Nord. Non, vous ne saurez jamais. Vous allez me demander qu'est ce que le Pôle Nord. C'est le grand froid du coeur de la femme, entre autre (...). La sienne. & dés qu'il y pense, il ferme ses persiennes. Phi', Grand Pâtissier aux yeux couleur Moka. Ou pas. Vous ne verrez Jamais. Phi' & ses milliers de rêves. Tellement de rêves que toutes les étoiles de l'univers ne suffisent pas pour les dénombrer. Phi', si on te vendait au poids du corps & du coeur, Jamais aucune richesse ne pourrait t'acheter. Rien ne te vaux, tu vaux bien plus que tout cela.
Le bar.
Le bar.
La rousse, toujours aussi maigre aujourd'hui, toujours aussi aigrie. Courbée sur sa vaisselle, ses café, ses alcools & boissons sucrées. Oui, notre jus d'orange est fait avec de vraies oranges préssées. Mais nous ne savons pas faire marcher la machine. Du moins, Elle ne le savait pas. La rousse, Séche comme un coup de trique. Crachant son venin, chaque jour un peu plus, parmi ses clients, parmi les siens. Ses yeux, fous, cherchent à chaque instant ses proies tel un vautour cadavérique. La rousse ne savait pas manger. Squelletique, elle déchiquette ses proies, se croient protégée. Mais se trompe. Quand elle rentre, tard la nuit, les hyénes rodent & attendent, encore & encore, le moment propice pour la dévorer. Semblable à la guépe, elle bourdonne aux oreilles de qui veut bien l'entendre, les ragots les plus sordides ou purement inventés. La rousse & son bar. Quelle grande histoire. Mais toute histoire a une fin. La rousse mourra dans un recoin de son bar, entre la machiné à café & le placard à balais. Ceci dit, elle l'aura bien cherché. Elle ne veut pas de couronnes, ni de fleurs, juste un coup de fusil, annoçant la fin d'une furie. D'une arracheuse de Vie. & une tasse de café, sérré, s'il vous plait. Merci.
Toutes les expériences sont bonnes à prendre - même les mauvaises - , cela dit, elles nous apprenent la vie & à la prendre par tous ces côtés, certains jours les bons, & d'autres les mauvais.
La rousse, toujours aussi maigre aujourd'hui, toujours aussi aigrie. Courbée sur sa vaisselle, ses café, ses alcools & boissons sucrées. Oui, notre jus d'orange est fait avec de vraies oranges préssées. Mais nous ne savons pas faire marcher la machine. Du moins, Elle ne le savait pas. La rousse, Séche comme un coup de trique. Crachant son venin, chaque jour un peu plus, parmi ses clients, parmi les siens. Ses yeux, fous, cherchent à chaque instant ses proies tel un vautour cadavérique. La rousse ne savait pas manger. Squelletique, elle déchiquette ses proies, se croient protégée. Mais se trompe. Quand elle rentre, tard la nuit, les hyénes rodent & attendent, encore & encore, le moment propice pour la dévorer. Semblable à la guépe, elle bourdonne aux oreilles de qui veut bien l'entendre, les ragots les plus sordides ou purement inventés. La rousse & son bar. Quelle grande histoire. Mais toute histoire a une fin. La rousse mourra dans un recoin de son bar, entre la machiné à café & le placard à balais. Ceci dit, elle l'aura bien cherché. Elle ne veut pas de couronnes, ni de fleurs, juste un coup de fusil, annoçant la fin d'une furie. D'une arracheuse de Vie. & une tasse de café, sérré, s'il vous plait. Merci.
Toutes les expériences sont bonnes à prendre - même les mauvaises - , cela dit, elles nous apprenent la vie & à la prendre par tous ces côtés, certains jours les bons, & d'autres les mauvais.
samedi 14 mars 2009
Vous ne saurez Jamais .
Me reveiller & le sentir, là, présent, tout contre moi. Le regarder Dormir. Respirer, lentement. Glisser quelques doigts furtifs dans ses cheveux. Innombrables boucles brunes se perdant dans la nuit. Regarder ses yeux, fermés, sereins, & son visage, calme, clair, sublime. Etincelle au milieu de l'obscurité. Quelques rayons de soleil s'infiltrent dans cette intimité, à travers les rideaux mal tirés. Notre intimité. Protégée par une douce Chaleur, ma jambe s'aventure lentement sur la sienne. Endormi. Il plonge un peu plus dans la douce profondeur de ses songes. Rêveurs. Je l'aime. Envie de lui murmurer à l'oreille quelques mots d'amour. Des mots qu'il comprendra sans les entendre. Je le regarde & j'observe, tel un Chat, Calmement. Lentement. Tous ces détails qui m'échappent lorsque le jour se léve. Tous ces détails. Mille chemins éparpillés sur son visage où les émotions coulent à flot perdu. Tous ces chemins qui me rendent heureuse. & qui m'obligent à me reveiller, trés tôt la nuit, pour les contempler, les connaitre par coeur. Les dessiner, encore & encore, du bout de mes doigts, du bout de mon coeur.
Toxine Hell.
Merci . .
Toxine Hell.
mardi 10 mars 2009
Avant premiere. *
Amour mon Amour, que les croches & les troubadourds t'emportent & décrochent la Lune pour toi, mon Amour. Sauvage dans le sable, tu souris à l'avenir, les cheveux dans le vent & les mains mouillées. Tu voudrais redevenir, mais on ne peut pas être & avoir été. Alors tends la main & serre le monde, quit à le faire pleurer d'un trop plein de maux, d'un manque d'humanité. Pence ses blessures & conjure, la tête levée, ce que les cons jurent & ont toujours jurés. Amour mon Amour, que les vagues t'emportent & te raménent jusqu'à moi. Je fermerai ma porte seulement aprés toi. Mes pas sur le sable en disent long. Bien plus qu'un murmure. Bien plus qu'une passion.
Toxine Hell.
Une Petite Pensée pout toi, Blyss. & toi*, mon Amour.
samedi 7 mars 2009
Promesse.
Pardonnez-moi Cette Attente.
*
Tendrement, Toxine Hell.
Toxine Hell's Gallery _ http://m0ut0n-addict.deviantart.com
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