J'ai un bleu au coeur.
Un vague à l'âme.
& dans tes yeux c'est l'ocean.
La colére des tempétes.
La force du vent.
Le calme de la mer.
La douceur de l'enfant.
Dehors.
Le sourire devient pudeur.
Le regard, un jugement.
Qui brise des barrieres.
Comme les vagues sur les rochers.
Qui fait naitre la peur.
Qui tue l'originalité.
à l'intérieur.
Un vieux refrain oublié.
Une douceur entre tes doigts.
Des soleils au coin de ta bouche.
L'immensité dans tes bras.
& tout ce qui nous touche.
N'en finira pas.
C'est un peu comme l'horizon.
Drôlement loin.
Drôlement plat.
Interminable.
& tu te pends.
En haut de mes bas.
Comme un enfant.
Qui ne veut pas.
De pas de danse.
Pour s'endormir.
Reconnaitre que l'enfance.
Est entrain de mourir.
Que les illusions.
Font de nous des cons.
Que nous sommes.
L'evolution d'un monde.
Qui ecrase les coeurs.
Avec ses gros sabots.
& que la rancoeur;
Sera le refrain.
D'un monde plus beau.
D'un monde plus vain.
& qu'on aura beau.
Calmer son chagrin.
Réconforter ses peines.
Soigner ses cicatrices.
Il ne restera que la haine.
Destructrice.
mardi 7 juin 2011
jeudi 19 mai 2011
- Vertige * -
dimanche 27 juin 2010
Parce qu'il faut bien Rire un peu.
Parce qu'ils* sont Toujours là.
Parce que je passe mes meilleurs moment avec eux.
Merci à vous - & à ceux qui ne figurent pas sur la Vidéo. -
http://www.dailymotion.com/video/xdu0v4_bryan-sur-la-garonne-et-tes-bottes_animals
<3
Parce que je passe mes meilleurs moment avec eux.
Merci à vous - & à ceux qui ne figurent pas sur la Vidéo. -
http://www.dailymotion.com/video/xdu0v4_bryan-sur-la-garonne-et-tes-bottes_animals
<3
mercredi 23 juin 2010
Perdue dans l'immensité.
Et je me bats pour prouver au monde entier que je peux vivre sans toi. & je te le promets ; j'y arriverais.
Le son traverse mon corps bléssé chaque nuit. Ce son qui me fait vibrer. encore plus fort qu'un Homme. Allez tous vous rhabiller avec vos états d'âme. Je ne veux pas de lambeaux de vos drames. J'écrase vos coeurs avec mes talons. Et je bois à la santé de mon amour perdu. Et je vomis sur vos illusions amoureuses du bonheur. Bande de petits naifs. Crédules. Moutons. Petits cons. Ce ne sont que des foutaises ; vos coeurs en braises. Mon lit un joyeux bordel. Prenez mes cheveux, ma peau, mes yeux. Je vous offre ma féminité. Inutile dans le monde de l'obscurité. où seules les courbes se dessinent dans la nuit. & font monter l'envie. Sans question, sans probléme, sans remord. Je vous mords. mes courbes vous font sourire. & vos sourire s'écrasent quand je me courbe. Comme une envie d'Envie dans la nuit. de silence dans le bruit. Pensez ce que vous voulez de moi ; celà ne me regarde pas. & quand, d'ennuie, vous n'existerez plus ; cela ne me regarde plus. La douceur de mes draps ne manque jamais un rendez-vous ; pendant que vos bras, trop lâches, s'enfuient au petit jour & n'assument pas l'image que vous montrez de vous. Sombres cons. Vous me faites mal, vous me faites envie. Pleurer, hurler dans la nuit. & pour vous faire plaisir, je simule ; Sombres idiots, soyez moins crédules la prochaine fois. Soyez au rendez vous, au creux de mes bras. & je ferme mes filets, & je ferme ma porte. Pour ne plus jamais que tu sortes, pour ne plus jamais que tu rentres. Dans mon corps & dans ma vie. & que tu ratures tous nos espoirs brisés, nos promesses bafouées. Que tu laisses mon corps aussi vide que tu l'as trouvé. & mon coeur livide & déchiré. Promess me you'll never promess again! & je devrais secher ces larmes qui me tuent peu à peu. & il faudrait que j'oublie. & la Lune m'écrase de son poids insistant. & la Lune me sourit. mais la Lune est toujours là, Elle, malgré le temps & la distance qui nous éloignent. Cette complicité qui nous unie & qui n'a jamais perdue de son charme. J'aime sentir mon coeur battre, la nuit, dans ma poitrine. Depuis que tu es parti, je n'ai plus besoin de toi. Bon vent. & qu'il t'enméne loin de tout. Mais surtout loin de moi, de ma bouche, de mes courbes, de mes bras. Plus rien ne t'appartien. plus rien n'est a toi.
Vivez votre vie tant qu'il en est encore temps, en passant au delà des critiques, au delà des jugements. Au dessus des gens qui parlent mais qui ne savent pas ; au dessus des gens qui jugent mais qui ne savent rien. & ça se fini sur quelques notes au Piano. Un, deux, trois mots jetés à l'eau. Et je me laisse sombrer dans l'ocean glacé de la nuit. Prisonniére de mes maux, dans le méandre de mon âme. je vous fuierez bientot. D'ailleurs regardez derriere vos barreaux... Merci Antise de m'avoir donner tes ailes. Je m'envole & je m'enfuie. Je me sens presque Belle.
samedi 5 juin 2010
Cupcake time.
jeudi 27 mai 2010
L'amour.
& Comment veux-tu que je tourne la page? Les maux que tu as gravés sont bien trop lourds. & mon coeur n'a pas assez de force & mon coeur devient sourd.
L'amour ; on grave des promesses à l'eau de rose & pour toujours sur un tronc d'arbre qui deviendra le cercueil de nos espoirs perdus.
Comment te dire que je me sens si seule sans Toi ; que je me sens nue.
& toutes les perles du monde ne me redonneront pas le sourire. Puisque tu as décidé de partir. De fuir devant la difficulté, la distance & l'ambiguité des tentations. C'est tellement plus simple. Tellement plus facile.
La plus belle preuve d'Amour c'est accepter de s'effacer de la vie de celui qu'on Aime. & le regarder partir, sans le retenir, parce que la pitié n'a jamais été une alliée. & ne le sera jamais. Accepter son bonheur loin de nous, loin de moi.
Parce qu'il y a des dates qui sont la pour me rappeler que le temps passe sans moi ; & ça m'effraie.
& Comment faire face à l'adversité alors qu'on a deja les yeux plein de larmes. & le corps bléssé. & Comment garder en moi tout ce qui me fait mal ; toutes ces pensées qui me tuent ; qui m'enterrent & me ruinent ; me réduisent en cendre.
& regarder les autres transpirer le bonheur ; leurs sourires mielleux & leurs rires ringuards me flinguent. J'aimerai qu'ils aillent se faire foutre. Tous. Avec leur foutu bonheur & leurs yeux qui brillent de milles feux. Pendant que moi, je m'éteint. Doucement. Lentement. Sans un bruit. Sans déranger personne.
mardi 11 mai 2010
That's all fun.
Il est des Personnes & des Sentiments que l'on ne peux oublier.
De l'amour à a haine il n'y a qu'un pas;
De la haine à l'amour, un fossé.
De l'amour à a haine il n'y a qu'un pas;
De la haine à l'amour, un fossé.
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